Jevis, mais ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi. Maintenant, ma vie humaine, je la vis en croyant au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui a donné sa vie pour moi. Je ne veux pas rendre inutile ce don de Dieu. En effet, si
Cen'est pas ce qui se passe ici. Il y a des ouvertures vertigineuses sur un incommensurable Silence. Il y a des plongées dans un Amour total. Il y a des aperçues de Lumière vivante embrassant tout. Il y a quelques secondes d'Eternité durant lesquelles ce que je me pense être disparaît totalement dans l'Unité de Ce qui est. Puis il y a cette petite Dom qui se
Lavie est comme un boomerang : elle nous renvoie toujours ce qu’on lui donne. Il est totalement inutile de perdre son temps et son énergie dans la tristesse, le regret, et de ce fait de ne plus avancer. La vie est un perpétuel recommencement. Des personnes entrent dans notre vie et aussi en sortent. Ils viennent pour une raison et en
Avecla maladie de Parkinson, le corps est sur le devant de la scène. Le corps ralentit, change, devient pataud, se déforme, transpire, fatigue vite, n'obéit plus à son maitre qu'il s'agisse
Cest ma première relation avec un homme vraiment plus vieux que moi, j’ai toujours eu des hommes de mon âge et mon ex-mari avait juste 3 ans de plus. Cette relation m’a vraiment stabilisée sur mon futur et mes envies. On sait l’un et l’autre ce que l’on souhaite et ce que l’on ne souhaite plus. On a des enfants de notre
Préfacede Billy Graham - « J'ai été crucifié avec Christ
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desorte que ce n'est plus moi qui vis, mais c'est le Christ qui vit en moi. Car ma vie humaine, actuelle, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m'a aimé et a donné sa vie pour moi.
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Galates 220 Nouvelle Édition de Genève - J’ai été crucifié avec Christ ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. Galates 220 Segond 21 - J’ai été crucifié avec Christ ; ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi ; et ce que je vis maintenant dans mon corps, je le vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et qui s’est donné lui-même pour moi. Les autres versions Galates 220 Bible Semeur - Ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi. Ma vie en tant qu’homme, je la vis maintenant dans la foi au Fils de Dieu qui, par amour pour moi, s’est livré à la mort à ma place. Galates 220 Bible français courant - de sorte que ce n’est plus moi qui vis, mais c’est le Christ qui vit en moi. Car ma vie humaine, actuelle, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et a donné sa vie pour moi. Galates 220 Bible annotée - Je suis crucifié avec Christ ; je vis, non plus moi-même, mais Christ vit en moi ; et en tant que je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé, et qui s’est donné lui-même pour moi. Galates Bible Darby - Je suis crucifié avec Christ ; et je ne vis plus, moi, mais Christ vit en moi ; -et ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi, la foi au fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. Galates 220 Bible Martin - Je suis crucifié avec Christ, et je vis, non pas maintenant moi, mais Christ vit en moi ; et ce que je vis maintenant en la chair, je le vis en la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimé, et qui s’est donné lui-même pour moi. Galates Bible Ostervald - Je suis crucifié avec Christ, et si je vis, ce n’est plus moi, mais c’est Christ qui vit en moi ; et si je vis encore dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé, et qui s’est donné lui-même pour moi. Galates 220 Bible de Tours - Et je vis, ou plutôt ce n’est pas moi qui vis, mais c’est Jésus-Christ qui vit en moi ; et si je vis maintenant dans ce corps mortel, j’y vis en la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimé et s’est livré lui-même pour moi. Galates 2 v 20 Bible Crampon - et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est le Christ qui vit en moi. Ce que je vis maintenant dans la chair, je le vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. Galates 220 Bible Sacy - et je vis, ou plutôt ce n’est plus moi qui vis, mais c’est Jésus -Christ qui vit en moi ; et si je vis maintenant dans ce corps mortel, j’y vis en la foi du Fils de Dieu, qui m’a aimé, et qui s’est livré lui-même à la mort pour moi. Galates 220 Bible Vigouroux - Et je vis, non ce n’est plus moi, mais c’est le Christ qui vit en moi ; et si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé, et qui s’est livré lui-même pour moi. Galates 220 Bible de Lausanne - Je suis crucifié avec Christ, et je vis, non plus moi, mais c’est Christ qui vit en moi ; et ce que je vis maintenant en la chair, je vis en la foi, en la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. Les versions étrangères Galates 220 Bible anglaise ESV - I have been crucified with Christ. It is no longer I who live, but Christ who lives in me. And the life I now live in the flesh I live by faith in the Son of God, who loved me and gave himself for me. Galates 220 Bible anglaise NIV - I have been crucified with Christ and I no longer live, but Christ lives in me. The life I now live in the body, I live by faith in the Son of God, who loved me and gave himself for me. Galates 220 Bible anglaise KJV - I am crucified with Christ neverthless I live; yet not I, but Christ liveth in me and the life which I now live in the flesh I live by the faith of the Son of God, who loved me, and gave himself for me. Galates 220 Bible espagnole - Con Cristo estoy juntamente crucificado, y ya no vivo yo, mas vive Cristo en mí; y lo que ahora vivo en la carne, lo vivo en la fe del Hijo de Dios, el cual me amó y se entregó a sí mismo por mí. Galates 220 Bible latine - vivo autem iam non ego vivit vero in me Christus quod autem nunc vivo in carne in fide vivo Filii Dei qui dilexit me et tradidit se ipsum pro me Galates 220 Ce verset n’existe pas dans cette traducton ! Galates 220 Bible allemande - Und nicht mehr lebe ich, sondern Christus lebt in mir; was ich aber jetzt im Fleische lebe, das lebe ich im Glauben an den Sohn Gottes, der mich geliebt und sich selbst für mich hingegeben hat. Galates 220 Nouveau Testament grec - ζ δὲ οὐκέι ἐγώ, ζῇ δὲ ἐν ἐμοὶ Χρι· ὃ δὲ νῦν ζ ἐν αρκί, ἐν πίει ζ ῇ οῦ ⸂υἱοῦ οῦ θεοῦ⸃ οῦ ἀγαπήαν με καὶ παραδνο ἑαυὸν ὑπὲρ ἐμοῦ.
Troisième article de la série sur les vocations sacerdotales. On devient clerc par l’appel de l’Église. De même que Notre-Seigneur Jésus-Christ a choisi ses apôtres et les a appelés, vocavit eos », vous aussi, mes chers amis, qui allez revêtir la soutane et recevoir la tonsure aujourd’hui, vous êtes appelés par l’Église. Et c’est précisément ce qui fait de vous un clerc, un membre de la hiérarchie de l’Église. Cette vocation est quelque chose de très important. Saint Paul nous rappelle dans l’épître aux Hébreux He 5,4 les paroles de Notre Seigneur Non vos Me elegistis, sed Ego elegi vos – ce n’est pas vous qui m’avez choisi, mais moi qui vous ai choisis » Jn 15,16. C’est donc Notre-Seigneur qui vous a choisis, et c’est ce qui constitue la vocation, non pas que vous ayez vous-même le désir de devenir prêtre, non pas que vous soyez apte à devenir clerc, à devenir membre de la hiérarchie sacerdotale, mais parce que l’Église vous appelle. Alors, à ce moment-là, vous êtes appelés, appelés par le bon Dieu pour appartenir à sa classe sacerdotale et à participer à son sacerdoce. Et quelles sont les tâches de cette hiérarchie, de cette prêtrise ? Transmettre la foi, éclairer les esprits, apporter la lumière dans les âmes et leur enseigner la révélation que Notre-Seigneur Jésus-Christ est venu annoncer Vos estis lux mundi – vous êtes la lumière du monde » Mt 5,14. Vous devez donc, par votre prédication, par votre enseignement, briller pour éclairer l’esprit, l’intelligence des croyants et convertir les non-croyants. Une deuxième tâche est la sanctification. Vous devez atteindre cette sanctification par tous les moyens que Notre-Seigneur Jésus-Christ a mis en œuvre pour sanctifier les croyants. Le moyen le plus efficace, le plus beau, le plus sublime de la sanctification que Notre-Seigneur Jésus-Christ a institué est son saint sacrifice de la messe, qui est son sacrifice sur la croix, son sacrifice eucharistique. Les fidèles l’espèrent de vous, tout comme les autres sacrements que Notre-Seigneur a institués. Ce sont les moyens par lesquels vous sanctifierez les fidèles. Ils leur donneront la vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ, sa propre vie. Vous les guiderez sur le chemin du ciel. Enfin, il existe une troisième tâche pour les ecclésiastiques guider. Diriger, c’est-à-dire prendre toutes les mesures appropriées pour faciliter aux fidèles le chemin vers le ciel. C’est votre mission sauver les âmes. Pour sauver les âmes, il faut les guider, il faut leur montrer le chemin Ego sum via et veritas et vita – Je suis le chemin, la vérité et la vie » Jn 14,6. Vous aussi, selon Notre-Seigneur, vous êtes le chemin, vous devez montrer aux fidèles le chemin du ciel. C’est la tâche particulière du prêtre, la tâche de ceux qui ont répondu à la vocation ecclésiastique. Source
© Istock “Chez moi ”. Deux petits mots évocateurs de quiétude et de confort. En théorie. Car il arrive que notre “home sweet home” ne soit pas aussi accueillant qu’il devrait l’être… Nos conseils pour en faire un vrai refuge. 1. Un sentiment de sécurité La maison devrait être le lieu où l’on tombe le masque et l’armure, et où l’on peut se laisser aller à son authenticité profonde et à sa vulnérabilité. C’est chez soi que l’on recharge ses batteries, physiques et psychiques, pour repartir chaque matin affronter de nouvelles aventures et de nouveaux défis. Si ce n’est pas le cas, demandez-vous est-ce un problème relationnel permanent ou récurrent avec votre partenaire ou vos enfants ? De mauvaises relations de voisinage ? La peur de retrouver votre solitude si vous vivez seul ? Peut-être ne ressentez-vous pas ou plus les ondes positives du lieu ? Prenez le temps de réfléchir à ces questions et de détailler vos réponses. Vous pouvez les écrire comme si vous teniez un journal. Cela vous aidera à affiner votre réflexion et à entrevoir des pistes de solutions. 2. Un sentiment de stabilité La sensation de stabilité, d’ancrage, nourrit le sentiment de sérénité. Se sentir chez soi, c’est sentir le sol ferme sous ses pieds, comme si la maison était un rocher dans l’océan, un port d’attache. C’est à cette condition que l’on se sent paisible, nourrit le sentiment de sérénité. Se sentir chez soi, c’est sentir le sol ferme sous ses pieds, comme si la maison était un rocher dans l’océan, un port d’attache. C’est à cette condition que l’on se sent paisible, mais aussi que l’on éprouve du plaisir à évoluer dans son environnement. Les manifestations de négligence ou de procrastination cartons non défaits, rangements provisoires qui durent, mais aussi l’absence d’investissement autre que fonctionnel dans l’aménagement, sont à l’opposé de la stabilité et du bien-être. Si ce n’est pas le cas, demandez-vous pourquoi est-ce que je ne m’investis pas ou plus ? Ce non engagement dans son lieu de vie peut traduire un refus d’investissement plus général lié à une personne ou à un mode de vie qui ne nous correspond pas ou plus, il peut aussi exprimer un doute ai-je vraiment envie de m’investir dans ce lieu ?, une insatisfaction ce lieu n’est pas assez bien/bon pour moi ou encore refléter une difficulté à prendre soin de soi, donc de son intérieur. Dans tous les cas, une fois la cause principale identifiée, reste à la questionner jusqu’à ce qu’émergent des solutions, des envies ou des idées. 3. Un sentiment d’identité Rentrer chez soi, c’est se reconnecter à son histoire et à sa singularité en retrouvant son univers esthétique, son passé, son imaginaire, son territoire émotionnel ainsi que ceux de l’autre si l’on vit en couple. Ce marquage de territoire » passe par un style de décoration, des couleurs, des odeurs, des objets qui racontent notre histoire. S’affranchir de la bien-pensance esthétique, de la peur du jugement pour assumer ses goûts personnels et affirmer sa singularité devrait être notre priorité. Si ce n’est pas le cas, demandez-vous, en faisant le tour minutieux de votre espace presque objet par objet est-ce vraiment moi/nous ? Est-ce que j’y suis vraiment attaché ? Ce double questionnement vous aidera à vous recentrer sur vos fondamentaux et à faire le tri autour de vous. => TESTEZ-VOUS ! Que dit votre maison de vous ?Quelle ambiance cherchez-vous à créer entre vos quatre murs ? Un nid protecteur, un lieu fonctionnel, un endroit esthétique, un univers à part ? Qu’attendez-vous de votre maison pour vous y sentir bien ? Quelle importance accordez-vous à notre intérieur ? Répondez à ces questions pour mieux comprendre qui vous êtes chez vous !
ce n est plus moi qui vit